Une histoire qui mais arriver

Je vais vous conter un histoire qui mais belle et bien arriver :

Un jour, alors que je me promenais dans la forêt, surgirent, hideux et noir, les deux fils du nétun ; chacun portait un bâton cornu de cornouiller, garni de plaques de cuivre cerclées de fils de laiton. Une armure les protégeait des épaules au bas du genou, mais ils avaient la tête et le visage à découvert, et leurs jambes, énormes, étaient nues. C’est ainsi armés qu’ils arrivèrent, tenant au-dessus de leurs tête un écu rond, solide et léger, pour s’escrimer.
(Les deux démons me demandent d’éloigner mon dragon.)
Il emmène alors mon dragon et l’enferme dans une cage au barreau électrifier. Pour m’outrager et m’humilier, les deux bêtes infectes s’élancent contre moi : ils n’ont plus a craindre mon dragon enfermé dans la cage. De leurs deux masses, ils m’assènent de si grands coups, que n’y mon heaume n’y mon écu ne me protègent. Chaque fois qu’il atteignent le heaume, celui-ci se cabosse et se disloque ; ils mettent en pièces l’écu qui fond comme glace ; ils y font de tels trous qu’il pourrait y passer les poings. Tous les deux sont redoutables. Mais, stimulé par la honte et la crainte, je me défendait de toutes mes forces je m’évertuait encore et encore à donner des coups d’une violence extrême. Je ne leur faisaient pas de cadeau : je leur rendait leurs bontés au double.
Mais dans la cage, la douleur et l’angoisse emplissaient le cœur de mon chère dragon. Il souvenait de la foie ou je l’avais sauvait d’une mort certaines fasse a des trolls ; ces moi qui maintenant aurait grand besoin de son service et de son aide. Il rendrait ce bienfait en faisant bonne mesure et sans compter, s’il pouvait sortir de là. Mais il avait beau frappé, les barreaux ne céder pas. Il voyait les coups échangeait au cours du combat, combat périlleux et déloyal.
Il en éprouvait une telle douleur qu’il devenait fou de rage. À force de taper contre les barreaux, il réussit à casser cette cage électrique. Déjà j’était harassé et couvert de sueur : j’avais affaire à des bandits vigoureux, perfides et aguerris, j’avait reçu bien des coups, et les avait rendu de mon mieux, sans réussir a les blesser ; car ils s’y connaissaient en escrime, et une épée, si tranchante et affilée qu’elle fût, ne pouvait entamer leurs écus. Aussi je pouvait y laissait la vie. Mais je tint bon, jusqu’au moment où, mon dragon arriva !
Si à présent les félons n’était pas vaincus, ils ne le seraient jamais ; car il n’obtiendront du dragon ni trêve ni paix tant qu’il les saura en vie. Il bondit sur l’un deux et lui écrasa la jambe gauche comme on écrase une mouche. Voilà les scélérats épouvantés, mais il n’y a personne parmi les témoins qui ne s’en réjouissent. Celui dont le dragon à écraser la jambe ne se relèvera pas si l’autre ne vient pas à son secours. Celui-ci accourt en effet vers son frère, et pour l’aider, et pour se protéger lui-même ; car c’est a lui que le dragon s’en prendrait dès qu’il aurait tué son adversaire . Mais maintenant le fils de Satan me tourne le dos et laisse son cou a découvert, je serait bien fou de le laissait vivre d’avantage ; l’occasion était trop belle : je lui assène un tel coup que je lui tranche la tête. Puis je regarda le dragon finir son œuvre. Les bandits était mort.

FIN!!!

Dédicace aux inventeurs de Word sans qui je n'aurait pu éviter les fautes d'orthographes ou de sintaxes.

Elfe Magicien Nombre de messages : 673 Date d'inscription : 27/10/2007

elle est bien bravo , tu la inventé tout seul ?

Ba oui pourquoi ??? Je voit pas l'interet de recopier un texte

GG, encore quelques fautes, mais très belle histoire

Elfe Magicien Nombre de messages : 673 Date d'inscription : 27/10/2007

Yementledragonnier je n'ais pas dit que tu la copier mais je demande car il et bien c'est tout ^^

Lol merci ^^c'est gentil a toi

pas mal! faudrait que je men fasse aussi! ^^

GG

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